2 Avril 2018
Lorsque je m'endors enfin
Mes douleurs se diluent
La douceur la remplace
La lassitude de mon corps s'estompe alors
Lorsque je m'endors enfin
Les pensées se fondent en chemin
S'éclipsent en murmures insondables
S'évanouissent, s'éparpillent, se muent dans les songes
Lorsque je m'endors enfin
Les mots se perdent dans la nuit
Disparaissent en rêves sourds
Se mélangent, s'associent, se transforment dans l'oubli
Lorsque je m'endors enfin
Je me déconnecte
Je me régénère c'est certain
Pour mieux aborder le lendemain