
L'heure sonne
Les murs dans ma tête résonnent
Le vide s'installe
Et se répand comme un dédale
Je crie en silence...un long soupir
Qui s'étire
L'absence d'eux me déchire
La vie pourtant je la réinvente
Mais la secousse est évidente
Ils sont la source de l'épicentre
La transition d'habitude impalpable
Se fait normalement sans mal
Sauf que pendant le confinement
J'avoue ! C'est différent
Alors oui quand l'heure sonne
Dans ma tête les murs résonnent